En matière de solidarité internationale, la première décennie de notre organisation a été marquée par la transition sociale-écologique et la finance solidaire.
Le Fonds Solidarité Sud est un organisme à but non lucratif (OBNL) né en 2010 et doté d’un conseil d’administration interrégional de huit personnes chargées de la bonne marche de l’organisation et de sa vie associative partout où il est présent. Il dispose de sept équipes régionales et d’une quarantaine d’animateurs et d’animatrices bénévoles. Il est membre de l’AQOCI et, à ce titre, a été fortement engagé dans le groupe de travail qui a donné naissance en 2018 au Fonds d’investissement solidaire international du Québec (FISIQ), un fonds dédié à des projets économiques de partenaires du Sud.
Le Fonds Solidarité Sud est présent dans cinq pays soit la Bolivie, le Honduras, le Pérou, Haïti et le Sénégal auprès de groupements paysans, de coopératives, de collectifs de femmes entrepreneures et de jeunes en processus d’insertion socio-économique.
Le Fonds Solidarité Sud (FSS) est dédié à des projets socioéconomiques de développement des communautés dans les pays du Sud. Il soutient la consolidation des mouvements qui les animent. Nos critères d’appui à des projets se fondent sur les points suivants :
- Des projets dont la perspective est celle de l’empowerment économique et social des communautés et des mouvements sociaux du Sud (groupements paysans, collectifs de femmes entrepreneures, groupes de jeunes…), projets adossés à des objectifs de transition sociale-écologique.
- Des projets qui soutiennent le développement d’économies de proximité dans les communautés misant surtout sur a) la création d’emplois d’entreprises collectives (coopératives); b) la finance solidaire (caisses d’épargne et de crédit, fonds dédiés, banques communautaires) et c) la transition écologique (énergies renouvelables, agroécologie, gestion durable des forêts…).
- Des projets qui se situent très clairement dans une perspective de développement. Nos soutiens ne peuvent servir à des secours d’urgence. Bref nous visons à être des « architectes de développement plutôt que des pompiers de services ».
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