Depuis 5 ans, l’entreprise canado-australienne OceanaGold (Pacific Rim) poursuit avec acharnement le Salvador au motif de ne pas lui avoir octroyé le permis nécessaire pour exploiter une mine d’or. Cette poursuite de plus de 300 millions de dollars offre des leçons importantes sur la façon dont les accords d’investissement internationaux privilégient les intérêts des entreprises au détriment des intérêts démocratiques, de l’autodétermination des peuples, de la santé et l’environnement.
Ces poursuites sont réalisées en vertu de dispositions de protection des investissements étrangers similaires à celles se retrouvant dans des milliers d’accords comme l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA) ou le projet d’Accord de partenariat transpacifique (TPP), ainsi que dans l’Accord économique et commercial global avec l’Union européenne (AÉCG). Ces mécanismes obscurs de règlement des différends menacent les droits des peuples à travers la planète.
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ORGANISÉ PAR:
Coalition québécoise sur les impacts socio-environnementaux des transnationales en Amérique latine, Alternatives, Comité pour les droits humains en Amérique latine, L’Entraide missionnaire, Réseau québécois sur l’Intégration continentale
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