Cet accord est l’un des plus ambitieux et préoccupant jamais négocié par le Canada. Discuté dans un secret presque complet, ses visées vont plus loin que l’ALÉNA. Pour la première fois, des domaines importants de compétences provinciale et municipale, comme la gestion de l’eau et les services publics, seraient livrés à la logique du « libre marché » et inféodés au pouvoir des investisseurs privés.
Jan 18
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