Commission de la condition de la femme de l’ONU (66ème session)
Forum parallèle des ONG
Le phénomène de la migration forcée et celui de la traite des filles et des femmes sont reliés et causés par des crises économiques, politiques et environnementales, sous la mondialisation institutionnalisée, générant des inégalités Nord-Sud et des inégalités sociales dans les pays et régions. Les filles et les femmes s’en trouvent opprimées, vulnérabilisées et en danger.
Elles ne doivent pas être oubliées par la stratégie de l’ODD5, c’est-à-dire, l’Objectif de développement durable numéro 5 établi par l’ONU : « Parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles ». Comment favoriser écologiquement et socio- économiquement les conditions pour contrer la migration forcée des filles et des femmes et la traite dont elles sont l’objet, dans le sens d’ouvrir des perspectives à leur empowerment- autonomisation?
En mettant l’accent sur la région de l’Afrique et particulièrement l’Afrique subsaharienne, nous poserons cette question centrale à nos invité-e-s, lors de cette table ronde qui réunira :
- Zenabou Segda, économiste environnementaliste, spécialiste Genre et changements Climatiques, présidente de Women Environmental Programme Burkina (WEP-BF)
- Marie-Claire Rufagari, chercheure et coordonnatrice de la formation à la Table des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes (TCRI) Et au Service d’Éducation et d’Intégration Interculturelle de Montréal (SEIIM)
- Ibtissam Azzakhmam, chercheure, membre de l’équipe SOCODEVI-projet COOPFAM, Maroc
- Libertad Torres, Chargée d’égalité des genres, Equitas
- Denis Côté, Analyste politique et coordonnateur de la Communauté de pratique sur l’environnement de l’AQOCI
- Mounia Chadi, Chargée de programmes-égalité des genres et coordonnatrice du Comité québécois femmes et développement – CQFD de l’AQOCI
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