Photographe, défenseure des droits humains
Ziba était une photographe freelance irano-canadienne. Ziba était une photographe freelance irano-canadienne. Les thèmes récurrents de ses photographies portaient sur la pauvreté, l’exil forcé, l’oppression et le courage des femmes dans ces situations. Selon le médecin légiste, a été violé, torturé et tué par des responsables iraniens après son arrestation en Iran. Bien que les autorités iraniennes insistent sur le fait que sa mort soit accidentelle et qu’elle soit décédée d’un accident vasculaire cérébral pendant son interrogatoire, Shahram Azam, ancien médecin du personnel militaire a affirmé avoir observé sur Kazemi , des signes évidents de torture, y compris une fracture du crâne, le nez cassé, des signes de viol et des ecchymoses abdominales graves.
Après une répression policière sévère lors d’une manifestation, environ 4000 étudiants «ont disparu» et auraient été arrêtés pour avoir protesté et conduits à la prison d’Evin, le centre de détention des prisonniers politiques de Téhéran. Le 23 juin 2003, Kazemi s’Est rendu à la prison pour prendre des photos des proches de ces étudiants qui se demandaient où se trouvaient leurs fils. Possédant une carte de presse émise par le gouvernement qu’elle a pensé permise pour qu’elle travaille autour de Téhéran, y compris à Evin, elle s’est elle-même fais arrêter par les forces de l’ordre puisque les photographes n’avaient pas le droit de prendre des photos de la prison.
Selon le médecin légiste, elle a été violée, torturée et tuée par des responsables iraniens après son arrestation. Bien que les autorités iraniennes insistent sur le fait que sa mort soit accidentelle et qu’elle soit décédée d’un accident vasculaire cérébral pendant son interrogatoire, Shahram Azam, ancien médecin du personnel militaire a affirmé avoir observé sur Kazemi , des signes évidents de torture, y compris une fracture du crâne, le nez cassé, des signes de viol et des ecchymoses abdominales graves.
Après une répression policière sévère lors d’une manifestation, environ 4000 étudiant-e-s «ont disparu» et auraient été arrêtés pour protestation et amenés à la prison d’Evin, le centre de détention des prisonniers politiques de Téhéran. Le 23 juin 2003, Madame Kazemi s’est rendue à la prison pour prendre des photos des proches de ces étudiant-e-s qui se demandaient où se trouvaient leurs fils. Possédant une carte de presse émise par le gouvernement, elle pensait qu’il lui était permis de travailler autour de Téhéran, Evin inclus, elle s’est fait arrêter par les forces de l’ordre puisque les photographes n’avaient pas le droit de prendre des photos de la prison.
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